Le Scoop

Miss Côte d’Ivoire 2025 : parcours, ambitions, projets… tout savoir sur les finalistes du concours

Elles sont trente (30) jeunes, ambitieuses et prêtes à défendre les couleurs de leur région. À quelques heures de la grande finale du concours Miss Côte d’Ivoire 2025, les projecteurs se braquent sur celles qui rêvent de porter la couronne de la beauté ivoirienne. Derrière les sourires et les robes élégantes qu’elles affichent, se cachent des parcours singuliers, des rêves bien ancrés, des projets humanitaires et des valeurs fortes. Études, engagements, passions, vie de famille, combats… Découvrez le profil complet des finalistes du concours miss Côte d’Ivoire qui défileront ce samedi 28 juin 2025 au Parc d’Expositions de Port Bouet à Abidjan.

1-Laetitia MOUROUFIE: Engagée en faveur des enfants orphelins

Le soir de son élection en tant que Miss Worodougou, Laetitia Mouroufié s’est immédiatement démarquée par sa démarche, véritable signature qui l’a rendue unique parmi les autres candidates. À 25 ans, cette jeune femme de 1m67 incarne une alliance entre beauté, intelligence et engagement.

Titulaire d’un Master 2 en Fiscalité et Droit des affaires, Laetitia n’en est pas à ses débuts dans l’univers des podiums. Habituée des défilés, elle affiche une forte présence sur les réseaux sociaux, où ses looks raffinés témoignent de son sens aigu du style. Une aisance scénique et une confiance en soi qui, selon elle, seront des atouts majeurs lors de la grande finale prévue ce 28 juin.

« Depuis mon plus jeune âge, j’ai participé à de nombreux concours. Devenir Miss Côte d’Ivoire représente pour moi la continuité d’une ambition, un véritable défi que je veux relever pour représenter dignement mon pays à l’international. Ce concours est bien plus qu’une couronne : c’est une plateforme d’impact, une opportunité de réalisation personnelle, et un espace pour porter des messages forts », confie-t-elle.

Au-delà de son parcours académique et de son attrait pour la mode, Laetitia est profondément investie dans le domaine social. Elle mène régulièrement des actions humanitaires, notamment en faveur des personnes vulnérables. Le concours Miss Côte d’Ivoire est, pour elle, un levier supplémentaire pour amplifier son engagement.

Depuis 2021, elle est membre active de l’association caritative TCHINTCHIN De La Charité, une organisation à but non lucratif dédiée au soutien des enfants orphelins. À travers cette structure, elle contribue à offrir à ces enfants un accompagnement moral et affectif pour pallier l’absence de leurs parents. Si elle est élue Miss Côte d’Ivoire, elle compte bien mettre sa notoriété au service de cette cause. « Grâce à la visibilité que m’offrira ce titre, je souhaite intensifier nos actions, visiter davantage d’orphelinats à travers le pays, et faire rayonner notre association avec l’appui du COMICI. Mon projet s’intitulera Un Sourire Pour Tous, car je crois sincèrement qu’un sourire peut transformer une vie », explique-t-elle.

Originaire d’une fratrie de six enfants – trois filles et trois garçons – Laetitia se décrit comme une jeune femme douce et souriante. Elle aime la création de contenus, la lecture, la musique et la danse. Candidate N°1, elle aborde la finale avec la volonté de marquer les esprits et de porter haut les valeurs qu’elle défend.

2 – Syntiche ESMEL : Un canon de beauté en guerre contre les violences physiques et psychologiques

Grande, élégante, Syntiche Esmel, Miss PORO 2025, incarne l’espoir de toute une région. À 22 ans, cette jeune femme d’1m82 rêve d’offrir au PORO sa toute première couronne nationale.

Titulaire d’une licence en Marketing Management, Syntiche se distingue par son calme naturel, sa discrétion et surtout son profond sens de l’altruisme. Pour elle, Miss Côte d’Ivoire n’est pas seulement un concours de beauté. Elle une véritable école de vie et une tribune pour l’expression personnelle. « Toutes les filles qui en ont envie devraient tenter leur chance. C’est une très belle aventure », confie-t-elle.

Aînée d’une fratrie de cinq enfants, elle voit dans sa participation un défi personnel, une quête de dépassement de soi. « Je suis plutôt fière de moi ! Ce concours m’a permis de prendre confiance, d’apprendre à m’exprimer devant un public avec sérénité et conviction. Ma participation s’inscrit dans une volonté d’accroître ma notoriété, de représenter dignement la femme ivoirienne et de porter un message d’espoir et de résilience », affirme-t-elle.

Engagée sur le plan social, Syntiche porte un projet : la lutte contre les violences physiques et psychologiques, en particulier celles que subissent les femmes et les enfants dans le silence des foyers. « Trop de souffrances restent cachées. Je veux briser le silence, éveiller les consciences et créer des espaces de parole, de soutien, où les victimes peuvent être écoutées et commencer à guérir. Parce qu’aucune blessure intérieure ne doit être ignorée, et que chacun mérite un chemin vers la paix », explique-t-elle.

En dehors de ses engagements, la Miss PORO est passionnée de musique gospel, un genre qui la recentre. Elle aime également les voyages, la lecture, l’écriture, et consacre ses moments de détente à la pratique du Pilates, qu’elle considère comme une véritable « safe place ». Avec son brassard numéro 2, Syntiche Esmel incarne une beauté engagée.

3 – Sarah FEDDAL : Elle veut créer une passerelle jeunesse autour du tourisme, la culture, l’éducation et la santé

À 25 ans, Sarah Feddal représente la région du Gbêkê dans la course à la couronne de Miss Côte d’Ivoire 2025. Du haut de ses 1m70, cette jeune femme allie grâce, rigueur scientifique et engagement social. Titulaire d’un Master 2 en biochimie et Immunologie, elle poursuit actuellement son Doctorat en première année dans la même spécialité.

Dotée d’une grande ouverture d’esprit, Sarah incarne une nouvelle génération de jeunes femmes conscientes de leur rôle dans la société. Si elle décroche la couronne nationale ce soir, elle ambitionne de créer un projet ambitieux : la “Passerelle de Jeunesse”, un espace de connexion entre les jeunes de Côte d’Ivoire et ceux de la diaspora autour de quatre axes majeurs : le tourisme, la culture, l’éducation et la santé. « Je crois qu’en réunissant les compétences et les talents des jeunes d’ici et d’ailleurs, nous pouvons valoriser notre culture, renforcer la santé mentale et physique, et bâtir un tourisme plus humain et plus responsable. La beauté, c’est aussi ce que l’on offre aux autres », explique-t-elle.

Sarah peut compter sur le soutien indéfectible de sa famille, en particulier de sa mère, qu’elle décrit comme son pilier, son socle. Première fille de ses parents, elle porte les espoirs de ses proches et de sa région. Passionnée de randonnée et de camping, elle trouve dans la nature un espace de ressourcement. Elle pratique également le handball et la natation, des disciplines qui reflètent son énergie et son sens du dépassement.

Son rêve le plus cher ? Être sacrée Miss Côte d’Ivoire 2025, un titre qui, au-delà de la reconnaissance, lui permettra de concrétiser ses projets et de devenir une voix forte pour la jeunesse ivoirienne. Avec son brassard numéro 3, Sarah Feddal se prépare à offrir le meilleur d’elle-même ce soir au Parc d’Exposition de Port Bouet.

4 – Samuela AMADOU : La barbie noire engagée pour l’épanouissement des petites filles défavorisées

À seulement 20 ans, Samuela Amadou incarne la détermination de la jeunesse ivoirienne. Élue Miss Grands-Ponts 2025, cette étudiante en Licence 1 d’Administration des Affaires vise désormais la plus haute marche du podium : la couronne de Miss Côte d’Ivoire.

Du haut de ses 1m83, Samuela se distingue autant par sa prestance que par sa personnalité. Elle se décrit comme une jeune femme courtoise, chaleureuse et équilibrée. Pour elle, le concours Miss Côte d’Ivoire représente bien plus qu’un simple défilé : c’est un défi personnel et une quête d’accomplissement. « C’est un concours qui permet aux candidates de s’affirmer, de développer leur estime de soi et de gagner en confiance », confie-t-elle.

Animée par une forte sensibilité sociale, Samuela a choisi de consacrer son projet humanitaire à l’épanouissement des petites filles issues de milieux défavorisés. Un engagement profond, nourri par une conscience des inégalités de genre. « On dit souvent : quand on naît femme, la vie te mène déjà 1 à 0. Alors, naître femme dans des conditions précaires rend la bataille encore plus rude », souligne-t-elle.

Benjamine d’une fratrie de trois enfants, elle voit en Miss Côte d’Ivoire une véritable porte d’entrée vers le monde, une plateforme d’expression et d’opportunités. Convaincue d’avoir les compétences nécessaires pour assumer ce rôle, elle aborde la compétition avec confiance. Passionnée de natation, elle trouve dans l’eau un espace de liberté et de concentration. Elle affectionne également la cuisine, un art dans lequel elle excelle. Avec son brassard numéro 4, Samuela Amadou est prête à défendre les couleurs de sa région et à porter un message fort en faveur de l’enfance et de l’égalité.

5 – Doria KORE :   Une Miss qui prône la restauration du couvert forestier

Ce samedi 28 juin, au parc des Expositions, tous les regards seront tournés vers les 30 prétendantes à la couronne de Miss Côte d’Ivoire 2025. Parmi elles, Doria Kore, Miss Haut Sassandra, espère séduire le jury et offrir un nouveau sacre à sa région, après les victoires historiques de SÉRY Djehi Dorcas en 2005 et YÉO Jennifer en 2014.

Âgée de 20 ans et mesurant 1m76, Doria est étudiante en première année de Sciences de l’Information et de la Communication. Depuis ses années d’école primaire, elle nourrit une véritable passion pour les concours de beauté. « Participer à Miss Côte d’Ivoire, c’est pour moi la concrétisation d’un rêve d’enfance. Chaque année, je suivais l’élection avec admiration. C’est ce qui a nourri en moi le désir de tenter ma chance à mon tour », explique-t-elle.

Dotée d’une grande courtoisie, Doria se démarque également par sa créativité et son goût prononcé pour la mode. Aînée de sa famille, elle aborde ce concours avec maturité.

Son projet social est à la hauteur de son engagement : la restauration du couvert forestier en Côte d’Ivoire. Consciente des conséquences dramatiques de la déforestation sur l’environnement et les conditions de vie des populations, elle entend agir concrètement. « La déforestation est un fléau qui affecte le climat, l’agriculture et l’accès à l’eau. Mon objectif est de sensibiliser, mobiliser et planter pour un avenir plus vert et plus durable », affirme-t-elle.

Avec son brassard numéro 5, Doria Kore entend bien marquer les esprits lors de la grande finale ce soir et prouver que l’élégance va de pair avec la conscience écologique. Une candidate prometteuse à suivre de près.

6 – Aïchata SANOGO : Aux côtés des veuves et des enfants démunis

À 23 ans, Aïchata Sanogo quant à elle porte les couleurs de la région du Tonkpi, qu’elle espère hisser de nouveau au sommet de la beauté nationale, plus de vingt ans après le sacre de Yannick Azébian en 2002. Du haut de ses 1m80, cette jeune femme compte bien marquer la grande finale de Miss Côte d’Ivoire 2025 de son empreinte.

Titulaire d’un BTS en Bâtiment, Aïchata a toujours rêvé de participer à ce concours emblématique qui, selon elle, célèbre non seulement la beauté ivoirienne, mais aussi l’intelligence et l’élégance d’esprit. « Une Miss, c’est une ambassadrice, une représentante des valeurs du pays, mais aussi un modèle pour la jeunesse », affirme-t-elle.

Aînée d’une fratrie de cinq enfants, Aïchata incarne la responsabilité. Si elle a l’honneur d’être élue Miss Côte d’Ivoire ce soir, elle promet de se montrer digne de la confiance du public et de son titre, en se consacrant à un projet social qui lui tient particulièrement à cœur : le soutien aux veuves et aux enfants démunis. « Aller à leur rencontre, leur apporter un peu de joie et de réconfort serait pour moi un immense bonheur. Partager ma bonne humeur, c’est aussi leur offrir de l’espoir », confie-t-elle.

Passionnée de voyages, de sorties détente et de natation, cette jeune femme affable sait allier douceur et détermination. Son brassard numéro 6 pourrait bien devenir le symbole d’un nouveau chapitre glorieux pour la région du Tonkpi.

7 – Marie-Julienne COULIBALY : Elle veut créer une maison de retraite pour les personnes âgées

Elle avait marqué les esprits lors de la soirée de présélection à Korhogo. Toujours souriante, Marie Julienne, 19 ans, défend cette année les couleurs du Tchologo avec l’espoir d’offrir à cette région sa toute première couronne nationale.

Étudiante en première année de Tourisme et Hôtellerie, Marie Julienne est déterminée à tout donner pour décrocher le titre de Miss Côte d’Ivoire 2025. Dotée d’un naturel communicatif et d’une grande douceur, elle voit dans ce concours une véritable opportunité de représenter la femme ivoirienne dans toute sa force, sa grâce.

Aînée d’une fratrie de quatre filles, elle peut compter sur le soutien indéfectible de ses parents, qui l’accompagnent dans cette aventure. Passionnée de musique et adepte de fitness en salle, elle cultive un équilibre entre discipline et bien-être, qu’elle transpose dans chacun de ses engagements.

Côté projet social, Marie Julienne a fait le choix du cœur : la création d’une maison de retraite pour personnes âgées. « J’aimerais leur offrir un lieu chaleureux, digne et sécurisé, où ils se sentiront aimés et respectés. Ces aînés ont tant donné à la société ; il est essentiel de ne pas les oublier », dévoile-t-elle.

Animée par un profond respect des valeurs humaines, la jeune Miss porte avec espoir les ambitions de toute une région. Ce 28 juin, elle compte bien gravir la scène de la grande finale.

8 – Shérine MAURICE: Une Gracieuse militante de la lutte contre l’autisme

Le dimanche 4 mai 2025, sur la scène du Théâtre du Gymnase Marie Bell à Paris, Shérine Maurice a été couronnée Miss Province France Côte d’Ivoire 2025. Élue sous les applaudissements d’un public conquis, la jeune femme représente la diaspora ivoirienne lors de la grande finale nationale prévue pour ce 28 juin 2025 au Parc d’Expositions de Port Bouet à Abidjan.

Diplômée Assistante médicale spécialisée en ophtalmologie et entrepreneure dans le domaine de la beauté, Shérine est une femme polyvalente, moderne et qui crois en l’avenir. Elle partage son aventure sur les réseaux sociaux, où elle dévoile ses préparatifs, ses valeurs et sa détermination.

Quatrième d’une grande fratrie soudée et dynamique, Shérine a su puiser dans son vécu familial une cause qui lui tient particulièrement à cœur : la sensibilisation à l’autisme. « C’est une cause qui me touche profondément, car ma petite sœur est autiste. Cette réalité m’a permis de voir de près les difficultés que traversent ces enfants et leurs familles : l’incompréhension, le manque de structures adaptées, et parfois même l’exclusion sociale », confie-t-elle.

Portée par ce combat personnel, elle souhaite mettre en place des actions pour briser les tabous et encourager une meilleure inclusion. « Je veux sensibiliser dans les écoles, accompagner les familles et soutenir la formation des éducateurs spécialisés. Chaque enfant mérite d’être compris, accompagné et aimé tel qu’il est », ajoute-t-elle.

Au-delà de son engagement, Shérine est une passionnée de voyages et de découvertes. Côté bien-être, elle privilégie les activités douces comme la marche et le fitness, qui lui permettent de garder l’équilibre entre esprit et corps. Miss Province France 2025, elle incarne l’élégance, la détermination et l’humanité. Et elle compte bien faire rayonner sa voix au service des causes qui lui tiennent à cœur, sur la scène nationale comme à l’international.

9 – Sarah BOUÉ: Une séduisante ambassadrice pour la cause des veuves et des orphelins en situation de vulnérabilité

La région du Gôh verra-t-elle sa quatrième reine nationale cette année ? Après les sacres de Michelle Tania Kessié (2004), Alima Diomandé (2006) et Betty Kouadio (2011), Sarah Boué, fraîchement élue Miss Gôh 2025, espère bien inscrire son nom dans l’histoire de la beauté ivoirienne.

Âgée de 20 ans et mesurant 1m78, Sarah est titulaire d’un BTS en Assistanat de Direction. Lors de la présélection régionale du 31 mars dernier à Gagnoa, elle a su conquérir le public et le jury grâce à son charisme naturel.

Décrite comme avenante, sociable, Sarah Boué n’a pas rejoint le concours par hasard. C’est un défi qu’elle s’est lancé, guidée par son amour pour la mode et le désir de prouver sa valeur. « Miss Côte d’Ivoire, pour moi, est non seulement un défi personnel, mais aussi une manière de donner une leçon de vie à ceux qui ont voulu me faire croire que je n’en étais pas capable », confie-t-elle.

Son projet social, profondément personnel, est tourné vers les veuves et les orphelins en situation de vulnérabilité. « Je suis orpheline de père. Je sais ce que cela représente de grandir seule avec sa mère. Nous avons eu la chance d’être soutenues, mais beaucoup ne le sont pas. C’est à eux que je veux tendre la main », explique-t-elle.

Fille unique, Sarah est soutenue sans réserve par sa mère, qui l’accompagne dans cette aventure. Passionnée de musique, elle aborde la grande finale nationale avec confiance, munie de son brassard numéro 9. Avec son parcours touchant, Sarah Boué se présente comme une candidate à suivre de près dans la course à la couronne de Miss Côte d’Ivoire 2025.

10 – Kinsa MAITRE:  Philanthrope engagée à promouvoir la richesse culturelle et touristique Ivoirienne

Élue Miss Nawa 2025, Kinsa Maître incarne LA génération de femmes ivoiriennes ambitieuses, cultivées. À 27 ans et du haut de ses 1m80, elle s’est donnée pour mission de ramener la couronne nationale dans sa région, et d’en faire une vitrine de l’excellence féminine ivoirienne.

Titulaire d’un Bachelor en Administration des Affaires et d’un Master en Business International décroché à la prestigieuse Hult International Business School de Londres, Kinsa n’a jamais cessé de nourrir le rêve de représenter la beauté et l’intelligence de la femme ivoirienne. « Être Miss, ce n’est pas seulement porter une couronne. C’est avoir une voix, une visibilité, et la responsabilité d’en faire quelque chose d’utile. Je crois profondément au pouvoir de la visibilité au service de l’utilité », affirme-t-elle.

Fille unique, née à Abidjan et ayant grandi à Bouaké, Kinsa est d’origine malinké par sa mère. Elle se définit comme une femme solaire, bienveillante, fière de ses racines et portée par un désir profond d’impact. Son projet social, intitulé « Retour aux sources – Source africaine », est une ode au patrimoine culturel et touristique de la Côte d’Ivoire. « Je veux valoriser les traditions, les récits oubliés, les sites naturels et les savoir-faire de nos régions. À travers des contenus pédagogiques, des actions sur le terrain et des partenariats avec les offices du tourisme, je souhaite reconnecter la jeunesse ivoirienne à son identité, tout en attirant un regard neuf et positif sur notre pays à l’échelle internationale », explique-t-elle.

Amoureuse de lecture, notamment les ouvrages de développement personnel, Kinsa est aussi une grande adepte de CrossFit, yoga, Muay Thaï et de Kora, instrument traditionnel qu’elle affectionne.

Avec son brassard numéro 10, elle se présente comme une candidate forte. Plusieurs sur les réseaux sociaux la voit au moins dans le trio gagnant de ce concours ce soir.

11 – Ruth DABLE: Elle veut valoriser la culture, le tourisme et la solidarité ivoirienne

 

Depuis son plus jeune âge, Ruth Dablé cultive l’amour de la beauté et de l’excellence. Aujourd’hui, à 23 ans, cette jeune diplômée en Génie Logiciel, mannequin professionnelle et fondatrice de la Fondation Ruth Dablé, représente la diaspora ivoirienne installée en Angleterre au concours Miss Côte d’Ivoire 2025.

Déterminée, passionnée, attentionnée et honnête, Ruth voit en ce concours une plateforme unique pour mettre en lumière la richesse culturelle, la force féminine et la diversité du patrimoine ivoirien. « En tant que jeune femme trilingue née et vivant en Angleterre, je veux être ce pont entre la diaspora et la Côte d’Ivoire », explique-t-elle.

Son projet social s’inscrit dans cette dynamique de valorisation et de connexion. Il repose sur trois axes forts : Organiser des excursions culturelles en partenariat avec des agences locales, afin de permettre aux personnes vivant à l’étranger de découvrir la beauté de la Côte d’Ivoire. Créer une série de contenus immersifs intitulée “Explore CI with Ruth”, pour promouvoir les langues, les traditions, la cuisine et le quotidien ivoirien. Représenter la Côte d’Ivoire dans les conférences et événements culturels à travers le monde, notamment en Angleterre, pour en renforcer la visibilité internationale. En parallèle, Ruth souhaite continuer les actions menées par sa fondation, qui œuvre au profit des orphelins, des veuves et des familles démunies, en Côte d’Ivoire comme dans la diaspora.

Cadette d’une grande famille, elle est reconnue pour son esprit d’initiative. Avec le brassard numéro 11, elle entend bien se démarquer lors de la grande finale nationale prévue ce 28 juin.

12 – Nadia SIDIBE: Une altruiste qui vient en aide aux personnes atteintes de drépanocytose

Belle, et gracieuse, Nadia Sidibé, élue Miss Agnéby-Tiassa 2025, incarne l’alliance entre l’élégance et la détermination. Âgée de 25 ans et mesurant 1m74, elle est titulaire d’un BTS en Gestion Commerciale.

Derrière son sourire doux et sa posture rassurante, se cache une jeune femme à la volonté ferme, portée par un engagement humanitaire profond. Elle se décrit comme une personne réservée mais sociable, convaincue que lorsque la détermination soutient l’ambition, aucune limite ne peut freiner l’impact que l’on souhaite créer. C’est dans cet esprit qu’elle a choisi de consacrer son projet social à la lutte contre la drépanocytose, une maladie génétique héréditaire encore trop peu connue malgré sa forte prévalence.

Pour Nadia, il est essentiel d’informer, de sensibiliser et surtout de soutenir concrètement les personnes atteintes, souvent laissées pour compte dans un système de santé insuffisamment préparé à répondre à leurs besoins.

Elle envisage la mise en place d’une structure dédiée à la prise en charge des drépanocytaires, avec un accompagnement à la fois médical, psychologique et éducatif. L’objectif est d’améliorer le diagnostic et le traitement, tout en engageant une véritable dynamique de sensibilisation publique pour lutter contre la stigmatisation et encourager les malades à consulter. À travers cette initiative, elle souhaite prouver que la beauté peut aussi être un puissant vecteur d’utilité sociale.

Pour Nadia, le concours Miss Côte d’Ivoire dépasse de loin le simple cadre d’une compétition esthétique. Il représente une plateforme d’expression à travers laquelle elle souhaite porter des valeurs fortes, inspirer la jeunesse ivoirienne et mettre en lumière des projets porteurs d’espoir.

Fière d’être l’aînée d’une fratrie de quatre filles, elle puise sa force dans sa famille et dans ses passions, entre musique classique, basket-ball et créativité. Avec son brassard numéro 12, elle se prépare à défendre ses convictions lors de cette grande finale.

13 – Neulissa GBEADA, Miss Moronou 2025 : une voix contre le cyberharcèlement

Étudiante en licence 3 de Droit privé, Neulissa GBEADA, 23 ans, s’apprête à défendre les couleurs de la région du Moronou à la grande finale de Miss Côte d’Ivoire 2025. Avec ses 1m74 et un regard empreint de douceur, elle incarne une beauté posée. Pour cette jeune femme passionnée de gymnastique, de pilates et de découvertes à travers les voyages, ce concours est bien plus qu’un rêve d’enfant. C’est une vocation ancrée dans le désir d’apporter un changement autour d’elle.

Se définissant comme loyale, ambitieuse, souriante, à l’écoute et résolument déterminée, Neulissa se positionne sur un sujet sensible et d’actualité : le cyberharcèlement. Une problématique grave, encore trop souvent minimisée, qui touche de nombreuses personnes, en particulier les jeunes. « Le harcèlement sur les réseaux sociaux est un phénomène malheureusement très répandu et souvent banalisé. Je veux créer un véritable espace de parole et de prévention. En tant que Miss, je souhaite sensibiliser la jeunesse, éveiller les consciences sur les dangers psychologiques, sociaux, et parfois même judiciaires du cyberharcèlement », explique-t-elle.

Son projet repose sur des actions concrètes telles que des campagnes de sensibilisation en milieu scolaire, des ateliers pédagogiques et des partages de témoignages pour libérer la parole. À travers son engagement, elle souhaite redonner aux réseaux sociaux leur véritable rôle : celui du lien, du partage et de la bienveillance, et non celui de la violence ou de la mise à l’écart.

Benjamine d’une fratrie de trois filles, Neulissa porte les valeurs de sa famille et de sa région le Moronou. Elle confie que Miss Côte d’Ivoire est pour elle bien plus qu’un concours de beauté.
« Ce n’est pas seulement une couronne. C’est une école de courage, de confiance et de dépassement de soi. C’est une plateforme d’expression, de rencontres et de valeurs partagées », affirme-t-elle. Pour elle, toutes les jeunes filles qui en ressentent l’envie devraient oser s’inscrire : car au-delà de l’apparence, l’aventure Miss est avant tout une formidable opportunité de grandir, de se révéler et d’inspirer.

Avec le brassard numéro 13, elle compte bien marquer les esprits ce soir du 28 juin 2025. Elle espère aussi offrir à la région du Moronou sa toute première couronne nationale, et faire de son combat contre le cyberharcèlement une cause nationale entendue, comprise et soutenue.

14 – Orphée KOUADIO: Soucieuse de travailler au bien-être mental et émotionnel des jeunes

Élue le 16 mars dernier pour représenter la région de l’Iffou, Orphée KOUADIO, 21 ans, étudiante en deuxième année de BTS Comptabilité, se prépare à défendre sa place à la grande finale de Miss Côte d’Ivoire. Mesurant 1m77, cette jeune femme au port altier et au regard doux est le reflet d’une jeunesse déterminée à faire bouger les lignes.

Pour elle, Miss Côte d’Ivoire est une tribune puissante pour incarner les valeurs de la femme ivoirienne moderne : belle, intelligente, enracinée dans sa culture mais aussi ouverte au monde. « Ce concours est une opportunité unique de donner une voix à une jeunesse pleine de potentiel, mais aussi de représenter avec fierté notre culture, nos valeurs et notre pays, tant sur le plan national qu’international », confie-t-elle.

Son engagement se concentre sur un combat encore trop souvent passé sous silence : la santé mentale et émotionnelle des jeunes. Touchée personnellement par ce sujet, elle souhaite briser les tabous autour de ces douleurs invisibles que beaucoup vivent en silence. Ayant elle-même traversé des périodes de fermeture émotionnelle et de méfiance, elle sait combien il est crucial de créer des espaces de dialogue et d’écoute. « À travers des ateliers, des conférences et des campagnes éducatives, je veux permettre aux jeunes d’exprimer ce qu’ils ressentent, de se reconstruire, de retrouver confiance en eux et d’apprendre à mieux gérer leurs émotions », explique-t-elle.

Aînée d’une fratrie de deux enfants, Orphée se définit comme une jeune femme ouverte d’esprit et dotée d’une forte résilience. Elle puise sa force dans les livres, la musique et les actions communautaires qui nourrissent sa soif de contribuer à un changement positif. À l’approche de la grande soirée du 28 juin, elle portera le brassard numéro 14.

15 – Leïla Guene, Miss Kabadougou 2025 : un cœur tourné vers les orphelins et les familles monoparentales


À 24 ans, Leïla Guene porte haut les couleurs de la région du Kabadougou à la grande finale de Miss Côte d’Ivoire 2025. Du haut de ses 1m83, la jeune femme, titulaire d’un BTS en Assistanat de Direction, ne passe pas inaperçue. Mais derrière son élégance et son port de reine, se cache surtout une jeune femme animée par une volonté sincère d’impacter positivement la société.

A l’écoute des autres, Leïla confie que participer au concours Miss Côte d’Ivoire n’est pas qu’un simple rêve. C’est un défi personnel, une manière de se dépasser, mais aussi d’incarner une voix forte pour les causes qui lui tiennent à cœur. « Ce concours représente bien plus qu’un simple événement de beauté pour moi : c’est une véritable école de vie, un vecteur d’influence, et l’opportunité de porter haut les valeurs de notre pays. Je souhaite aussi, à travers cette plateforme, servir d’exemple et d’inspiration à d’autres jeunes filles », affirme-t-elle.

Son projet social est lié à son histoire personnelle. Aînée d’une fratrie de cinq enfants, elle a grandi sans la présence de son père. Cette réalité, elle la porte encore en elle aujourd’hui, et c’est ce vécu qui la pousse à vouloir se mettre au service des orphelins et des familles monoparentales, ces foyers souvent laissés dans l’ombre et confrontés à des défis immenses. « Je sais, pour l’avoir vécu, ce que cela signifie de grandir sans l’un de ses parents. C’est une blessure silencieuse, un manque constant. C’est pourquoi je veux m’engager activement pour offrir un soutien matériel, émotionnel, mais aussi une écoute bienveillante à ceux qui traversent ces situations difficiles », confie-t-elle.

Ce 28 juin, Leïla GUENE portera le brassard numéro 15 à la grande finale. Plus déterminée que jamais, elle espère séduire le jury et toucher les cœurs du public ivoirien, non seulement par sa grâce, mais surtout par son engagement sincère à faire du titre de Miss Côte d’Ivoire une véritable mission au service des autres.

16 – Marie-Axelle GBOGOU : Une reine de beauté qui vient former à l’éducation des enfants

La région du Folon espère décrocher sa toute première couronne nationale grâce à une candidate qui incarne autant l’intelligence que la grâce. Marie-Axelle GBOGOU, 25 ans, diplômée d’une Licence en Sciences Economiques et de Gestion et d’un Master en Monnaie, Banque et Finance, représente cette jeunesse ambitieuse qui veut donner un sens à son engagement dans le concours Miss Côte d’Ivoire.

Avec sa silhouette élancée de 1m77, elle impressionne par la maturité de ses idées. Si la compétition est pour elle une aventure exaltante, elle la vit avant tout comme un défi personnel. « Miss Côte d’Ivoire, c’est un rêve que je porte depuis des années. Aujourd’hui, c’est devenu un projet concret, le fruit d’un engagement profond. Je pense avoir les aptitudes nécessaires pour porter fièrement cette casquette », confie-t-elle.

Passionnée de lecture, de découvertes et de tennis, Marie-Axelle est la cadette d’une fratrie de quatre enfants. Ses proches la décrivent comme une femme altruiste. Des qualités qui transparaissent dans le projet social qu’elle souhaite porter à l’échelle nationale : remettre l’éducation parentale au centre de la construction de l’enfant.

Convaincue que les premières années de vie conditionnent l’équilibre futur des adultes, elle milite pour une responsabilisation active des parents dans l’éducation de leurs enfants. « L’adulte de demain est en grande partie le fruit de son enfance. Il est donc essentiel de sensibiliser les parents sur l’importance de leur rôle éducatif au sein du foyer, pour construire des citoyens stables, responsables et confiants », affirme-t-elle.

Pour cela, elle envisage de mettre en place des programmes de formation à destination des parents, à travers des ateliers, des conférences et des supports pédagogiques adaptés, afin de leur offrir les outils nécessaires pour comprendre, assumer et valoriser pleinement leur rôle. Un projet ambitieux, porté par une candidate consciente des enjeux sociétaux actuels. Marie-Axelle GBOGOU représentera le Folon à la grande finale, arborant le brassard numéro 16, avec l’espoir de faire rayonner sa vision d’une éducation repensée à la racine.

17 – Doloresse SEDIA : une voix pour les enfants oubliés du système carcéral

Élue Miss San Pedro le 29 mars 2025, Doloresse SEDIA s’impose comme l’une des candidates les plus engagées de cette édition du concours Miss Côte d’Ivoire. À 25 ans, cette jeune femme de 1m74, actuellement en troisième année de formation au sein de l’IATA pour devenir Personnel Navigant Commercial, aborde la compétition avec détermination et lucidité. Consciente des responsabilités qui accompagnent son statut, elle se prépare avec rigueur pour ce grand soir du 28 juin.

Passionnée de lecture, notamment de documentaires liés à l’aviation, et adepte de natation, Doloresse se décrit comme une personne intelligente, avec un profond désir d’apporter quelque chose de concret à la société. Participer à Miss Côte d’Ivoire est pour elle l’occasion de se prouver à elle-même qu’elle peut aller au bout de ses ambitions et devenir une voix utile pour sa génération. « Je veux relever un défi personnel : me prouver que je suis capable d’aller au bout de mes rêves, de mes convictions et d’être une voix utile et inspirante pour ma génération », confie-t-elle.

Ce désir d’impact se reflète dans le projet social qu’elle souhaite porter en tant que Miss : un engagement fort en faveur des enfants vivant en milieu carcéral, souvent oubliés et marginalisés. Intitulé « Des sourires derrière les murs », ce projet vise à apporter un accompagnement moral, éducatif et affectif à ces enfants. « C’est un engagement de cœur, un cri silencieux que je souhaite amplifier. Ces enfants, bien souvent oubliés, sont les victimes invisibles d’un système qui ne leur accorde pas toujours la possibilité de se reconstruire. Je veux les aider à retrouver leur dignité, à croire en leur avenir, à travers l’éducation, l’écoute bienveillante et des actions concrètes », explique-t-elle.

Soutenue par sa famille et ses proches, Doloresse SEDIA défendra les couleurs de la région du San Pedro avec son brassard numéro 17 lors de la finale nationale. Dans son regard et dans ses mots, transparaît l’envie de faire entendre la voix de ceux qu’on n’écoute plus.

18 – Diane GOUANO : Une ambassadrice de la sécurité routière au cœur sensible

Couronnée Miss N’Zi 2025 à Dimbokro le 5 mars dernier, Diane GOUANO incarne l’élégance. À 26 ans, cette jeune femme au charme naturel, mesurant 1m78, est diplômée d’une Licence en Sciences Juridiques et Economiques. Elle se distingue non seulement par la profondeur de son engagement social, incarné dans un projet qui lui tient particulièrement à cœur et qui fait l’actualité dans le pays : la sécurité routière.

Son initiative, intitulée « Sécurité routière, valoriser la vie humaine », est née d’un drame personnel. « Il y a maintenant sept ans, j’ai perdu mon petit frère dans un accident de la route. Ce jour-là, tout a basculé. J’ai compris que parfois, une seule minute d’inattention peut coûter une vie », confie-t-elle. À travers ce projet, Diane souhaite sensibiliser les usagers de la route aux conséquences tragiques de l’incivisme routier. Elle milite pour une meilleure éducation à la sécurité, une prise de conscience collective, et une véritable valorisation de la vie humaine sur nos routes.

Avec ce combat en toile de fond, Diane espère offrir une deuxième couronne nationale à la région du N’Zi, après le sacre de Mylène Djihony en 2023. Elle se définit comme une personne respectueuse et profondément empathique, des qualités qui, selon elle, font partie intégrante du rôle d’une Miss.

Passionnée de voyages, de chant, de mode et de cinéma, la cadette d’une fratrie de trois enfants a également un solide passé sportif : pendant douze (12) ans, elle a pratiqué l’athlétisme à haut niveau. Aujourd’hui, elle veut faire de cette discipline de rigueur et d’endurance un tremplin vers une mission de sensibilisation d’envergure. Ce soir, Diane portera le numéro 18 lors de la grande finale nationale. Pour elle, ce concours est l’opportunité de faire entendre une voix utile, tournée vers l’humain.

19 – Grâce-Esther BOMO : Une beauté engagée contre le harcèlement scolaire et numérique

Couronnée Miss Gontougo 2025 le 20 avril dernier à Bondoukou, Grâce-Esther BOMO n’a pas seulement conquis le public par sa silhouette élancée et son sourire solaire. Du haut de ses 1m83, cette jeune femme de 24 ans, titulaire d’un BTS en Tourisme et Hôtellerie, incarne une nouvelle génération de reines de beauté : audacieuses.

Issue d’une fratrie de quatre enfants, Grâce-Esther a toujours su que sa voix pouvait porter plus loin. Souriante, chaleureuse, elle porte avec assurance un projet qui lui tient profondément à cœur : la lutte contre le harcèlement, qu’il soit scolaire ou en ligne. « Le harcèlement détruit l’estime de soi, il freine les rêves, et parfois, il tue. Beaucoup de victimes souffrent en silence. Ce silence, je veux le briser », confie-t-elle.

Pour mener ce combat, la Miss Gontougo 2025 prévoit d’organiser des campagnes de sensibilisation au sein des établissements scolaires, en collaboration avec des psychologues et des associations locales. Son ambition est de créer un espace d’écoute, d’éducation et d’accompagnement pour toutes les victimes. « En éduquant, en écoutant et en agissant, nous pouvons construire une société plus humaine, plus respectueuse, et surtout plus sûre », insiste-t-elle.

En lice pour offrir à sa région une seconde couronne nationale après celle de Gbané Mandjalia il y’a 8 ans, Grâce-Esther se prépare à la grande finale du concours Miss Côte d’Ivoire. Entre deux entraînements, elle trouve du réconfort dans la lecture de romans de développement personnel, la musique et la natation — des passions qui nourrissent sa sensibilité et son engagement. Ce soir, c’est avec le numéro 19 qu’elle défilera, portée par un rêve d’enfance devenu aujourd’hui un combat public.

20 – Barakiss TOURE:  Engagée dans la scolarisation des enfants ‘’orphelins de la rue’’

Pour la région de l’Indénié-Djuablin, la quête de la toute première couronne nationale de Miss Côte d’Ivoire reste un rêve à concrétiser. Et cette année, tous les regards sont tournés vers Barakiss TOURE, élue Miss Indénié-Djuablin le 8 mars 2025 à Abengourou. À 24 ans, cette jeune femme engagée compte bien transformer ce rêve en réalité.

Titulaire d’un diplôme d’hôtesse de l’air (CCA) et actuellement en fin de cycle en troisième année de Communication, Barakiss réunit charme, éloquence et présence scénique. Mais plus encore, elle porte en elle l’ambition profonde d’utiliser la plateforme Miss Côte d’Ivoire comme un levier de changement social.

Fille aînée d’une fratrie de six enfants, elle bénéficie d’un fort soutien populaire dans sa région, notamment à Abengourou, où sa candidature suscite un grand espoir. À quelques heures de la grande finale prévue pour ce 28 juin au parc d’expositions, elle se dit plus déterminée que jamais à relever le défi, avec le numéro 20.

Au-delà du concours, Barakiss TOURE s’investit pleinement dans un projet social qui lui tient à cœur : la scolarisation des orphelins vivant dans la rue. Pour elle, ces enfants, souvent livrés à eux-mêmes dans des conditions précaires, incarnent une détresse que la société ne peut plus ignorer. « Ils n’ont pas choisi leur sort. Et pourtant, ils sont confrontés à la faim, à l’insécurité, à l’indifférence, mais surtout à un cruel manque d’accès à l’éducation et aux soins », explique-t-elle.

À travers ce projet, elle entend agir : offrir une chance à ces enfants oubliés, leur permettre d’intégrer un système scolaire et de bénéficier d’un suivi éducatif et psychologique. Passionnée de lecture, de musique et d’écriture, elle voit en Miss Côte d’Ivoire une plateforme de leadership féminin, mais aussi un canal puissant pour valoriser la culture ivoirienne et initier des projets à fort impact social. Barakiss TOURE ne porte pas seulement une couronne régionale. Elle incarne l’espoir d’un peuple, l’ambition d’une jeunesse, et la promesse d’un avenir plus juste pour les enfants sans repères.

21 – Épiphania DOSSOU: Charmante missionnaire aux côtés des mères abandonnées

Épiphania DOSSOU, élue Miss Lôh-Djiboua 2025, s’avance vers la grande finale nationale du concours Miss Côte d’Ivoire. À seulement 19 ans, cette étudiante en deuxième année de BTS Assistanat de Direction souhaite offrir à sa région une première couronne nationale et marquer les esprits par son engagement social.

Souriante, avec une pointe d’humour qui charme, Épiphania a choisi de faire de sa participation un véritable défi personnel. « J’ai toujours voulu vivre cette aventure. C’est un rêve, mais aussi un challenge que je veux relever avec dignité et passion », confie-t-elle. Ce rêve est aujourd’hui bien réel, et la jeune femme entend mettre sa visibilité au service d’une cause qui lui tient particulièrement à cœur : le soutien aux mères abandonnées.

Elle explique que ce combat est né d’une profonde conviction : « Ces femmes traversent des épreuves particulièrement difficiles. Elles élèvent seules leurs enfants, affrontent les jugements, les difficultés économiques, souvent dans l’indifférence générale. Elles méritent que la société leur tende la main. » Par son projet, Épiphania souhaite sensibiliser le public à cette réalité, créer des espaces de soutien et mobiliser les acteurs sociaux pour une prise en charge plus humaine.

Cadette d’une famille de quatre enfants, elle se définit comme très attachée aux valeurs familiales. Dans ses moments de détente, elle aime cuisiner, coiffer et peindre, des activités qui nourrissent son esprit créatif. Pour la grande finale du concours Miss Côte d’Ivoire, Épiphania portera le brassard numéro 21, avec l’espoir de convaincre par la noblesse de son engagement.

22 – Tinan VANIE: La reine alerte sur les dangers liés aux violences faites aux femmes


Pour représenter la région du Guémon, Mlle Tinan VANIE entre dans la compétition nationale Miss Côte d’Ivoire 2025 avec un projet à fort impact social. Âgée de 21 ans, étudiante en première année de BTS Assistanat de Direction, elle veut faire entendre la voix des femmes victimes de violences.

Depuis son élection régionale, la jeune candidate porte haut les espoirs de toute une région, qu’elle espère couronner d’un premier titre national. Pour elle, Miss Côte d’Ivoire: « C’est un rêve d’enfance, un défi personnel que je m’étais fixé, mais surtout une plateforme précieuse pour porter un message, une cause. Je veux que cette visibilité serve à changer des vies », affirme-t-elle.

Tinan souhaite ouvrir un centre d’accueil et de transit dédié aux femmes victimes de violences basées sur le genre. Ce lieu, qu’elle envisage comme un espace de refuge et de reconstruction, offrirait un accompagnement psychologique, social et juridique à celles qui n’ont souvent d’autre choix que le silence. « Trop de femmes souffrent dans l’ombre. Il faut briser ce cycle. Je veux créer un espace sûr, un endroit où elles pourront se relever », dénonce-t-elle.

Dotée d’une élégance naturelle et d’un charisme évident, elle est la cadette d’une fratrie de quatre enfants. Elle aime la mode, la cuisine et les moments de qualité passés avec ses proches. Mesurant 1m74, elle se prépare à défendre son projet et sa région. Le soir de la grande finale du 28 juin, elle arborera le brassard numéro 22, animée par une volonté farouche de faire la différence.

23 – Lou-Mary N’GUESSAN: Engagée à aider les personnes souffrant d’insuffisance cardiaque

Le 10 mai dernier, Lou-Mary N’GUESSAN a conquis le public londonien lors de l’élection Miss Côte d’Ivoire UK, au Greenwich Borough Hall. Du haut de ses 1m67, cette étudiante en Politique et Relations Internationales, âgée de 20 ans, avait impressionné par sa prestance, son éloquence. Originaire de Côte d’Ivoire, précisément de la Marahoué, mais née et élevée en Angleterre, Lou-Mary a vu dans le concours Miss Côte d’Ivoire une occasion de renouer avec ses racines et de porter l’identité ivoirienne sur la scène nationale.

Derrière son sourire lumineux se cache une jeune femme persévérante, passionnée de netball et de rugby. « Ce concours, c’est bien plus qu’un podium. C’est un moyen de montrer notre intelligence, notre authenticité et surtout de s’engager pour des causes qui nous tiennent à cœur », confie-t-elle.

Ce qui la touche profondément, c’est le sort des personnes souffrant d’insuffisance cardiaque, une maladie chronique souvent sous-estimée, mais qui impacte lourdement la qualité de vie des malades. Lou-Mary ambitionne, si elle est élue Miss Côte d’Ivoire 2025, de créer un centre spécialisé où prévention, dépistage et accompagnement seront proposés. « Il faut éduquer, détecter tôt, et surtout apporter du soutien moral et médical à ceux qui vivent avec cette pathologie », insiste-t-elle.

Authentique et dotée d’une grande force de caractère, Lou-Mary, d’ethnie Gouro, souhaite incarner une reine de beauté proche des réalités, tournée vers les autres. Ce 28 juin, elle portera le brassard numéro 23, et compte bien séduire le jury par son engagement autant que par son charisme.

24 – Aïcha BONIBO: Symbole de l’autonomisation  des femmes vulnérables

Élue Miss Bounkani 2025, Aïcha BONIBO s’impose comme une figure forte de cette édition du concours Miss Côte d’Ivoire. Avec son mètre 86 et sa silhouette majestueuse, cette jeune femme de 24 ans, titulaire d’un Master 2 en Gestion du Marketing à l’International, a fait sensation dès les présélections à Bondoukou. Mais au-delà de son allure, c’est son projet de société et sa sincérité qui marquent aussi les esprits.

Pour Aïcha, le concours représente bien plus qu’une aventure glamour. « Je me suis lancée dans cette compétition avec l’intention de donner le meilleur de moi-même, pour tous ceux qui croient en moi. C’est un rêve d’enfance, mais aussi un devoir de représenter la Côte d’Ivoire avec dignité et conviction », affirme-t-elle.

Son projet, intitulé « Maman forte », met en lumière les réalités souvent invisibles des femmes vulnérables, particulièrement celles qui élèvent seules leurs enfants. « Ces femmes sont les piliers silencieux de nombreuses familles. Ma propre mère a traversé cette épreuve, et grâce au soutien qu’elle a reçu, notre vie a changé. Aujourd’hui, je veux redonner cette chance à d’autres », confie Aïcha.

Son ambition est de bâtir un programme d’accompagnement global : formations professionnelles adaptées, micro-financement d’activités génératrices de revenus, encadrement juridique et psychologique, mais aussi création de garderies communautaires. Une approche structurée pour permettre à ces femmes de se reconstruire et d’accéder à une véritable autonomie.

Aînée d’une fratrie de cinq enfants, Aïcha est passionnée par la cuisine, les bandes dessinées et le badminton. Respectée pour sa bienveillance, elle incarne un profil idéal pour représenter les valeurs de la femme ivoirienne moderne. Ce 28 juin, elle portera le brassard numéro 24 avec l’espoir de transformer sa voix en levier de changement pour toutes les « mamans fortes » de Côte d’Ivoire.

25 – Roxane TOMLY: La lutte contre les violences faites aux jeunes femmes, au cœur de son projet

C’est clairement la sensation de cette édition 2025. À 22 ans, Roxane TOMLY s’apprête à franchir une étape décisive de son parcours en visant la couronne nationale au concours Miss Côte d’Ivoire 2025. Élue Miss Marahoué, cette jeune étudiante en première année de BTS Génie Civil ne cesse de faire la Une des réseaux sociaux où sa beauté ne laisse personne indifférente. Roxane TOMLY est portée par l’élan d’un rêve nourri depuis l’enfance et par l’indéfectible soutien de ses proches.

Derrière son regard profond et son allure douce se cache une femme déterminée, persévérante, qui souhaite allier son charisme à une cause d’une gravité trop souvent ignorée : les violences faites aux jeunes femmes. Son projet social, intitulé « Cœurs brisés », vise à offrir un refuge concret aux victimes de violences psychologiques, verbales ou physiques. « Je veux créer des centres d’écoute et de reconstruction, encadrés par des professionnels, pour aider ces femmes à retrouver leur estime, leur voix et leur force. Une Miss doit pouvoir incarner cette force, surtout pour celles qui ne peuvent encore se relever seules », affirme Roxane.

Issue d’une fratrie de trois enfants, elle puise son équilibre dans la natation et la mode, deux passions qui nourrissent sa confiance et son expression personnelle. Ce samedi 28 juin, elle espère transformer ce rêve en réalité, en portant le brassard numéro 25.

26 – Camille AMAN : Un canon de beauté ancré dans la lutte contre la drépanocytose

À 23 ans, Camille AMAN ambitionne de hisser la région de la Mé au sommet du concours Miss Côte d’Ivoire 2025. Élue Miss Mé, cette diplômée d’un BTS en finance, comptabilité et gestion d’entreprise se présente comme une jeune femme sociable, ambitieuse, et passionnée par le basketball, les voyages et les documentaires animaliers.

Ce qui distingue Camille, au-delà de sa grâce et de son élégance naturelle, c’est son profond engagement pour la lutte contre la drépanocytose. Ayant vu de près les souffrances que cette maladie inflige à certains de ses proches, elle a décidé d’en faire son cheval de bataille. « C’est une maladie qui affecte des milliers d’enfants et d’adultes en Côte d’Ivoire, mais qui reste encore trop méconnue. Je veux sensibiliser, faire dépister et surtout pousser à un meilleur accompagnement médical des patients », explique-t-elle avec émotion.

Pour Camille, le concours Miss Côte d’Ivoire ne se résume pas à une compétition de beauté. C’est une tribune d’expression et un levier pour porter des causes nobles. « Cette institution valorise notre culture, célèbre la diversité et permet à des jeunes femmes comme moi de devenir des actrices du changement », confie-t-elle.

Avec son mètre 72, son sourire franc et ses idées claires, Camille compte bien marquer cette édition. Ce 28 juin, elle défilera avec le brassard numéro 26, espérant inscrire son nom dans l’histoire du concours Miss Côte d’Ivoire.

27 – Fatima KONE: La gracieuse reine engagée pour l’insertion professionnelle  des jeunes

Représentante du Hambol, Fatima KONE fait elle aussi figure de favorite au concours Miss Côte d’Ivoire 2025. Du haut de ses 1m78, cette étudiante en première année de licence e-commerce incarne une élégance naturelle doublée d’une volonté forte de servir une cause qui la touche profondément : l’insertion professionnelle et sociale des jeunes.

D’une fratrie de cinq filles, Fatima a toujours été décrite comme une jeune femme dynamique, ambitieuse. Son projet, baptisé « Rebond », vise à offrir une seconde chance aux jeunes de 15 à 25 ans déscolarisés ou sans perspectives. « Trop de jeunes abandonnent ou se retrouvent sans avenir. Je veux leur tendre la main à travers un programme qui mêle formations pratiques, accompagnement psychologique, orientation et accès à l’emploi. C’est une urgence sociale à laquelle je veux répondre », insiste-t-elle.

Fatima ne conçoit pas la couronne comme une fin en soi, mais comme un tremplin pour changer des vies. Passionnée par la mode, la cuisine, l’événementiel et le paddle, elle compte mobiliser ses compétences et sa visibilité pour faire de « Rebond » une initiative d’envergure nationale. « Je crois que chaque jeune a un potentiel, mais il faut parfois un coup de pouce pour le révéler. Je veux être ce coup de pouce », affirme-t-elle. Ce jour 28 juin, elle portera le numéro 27. Et derrière ce chiffre, elle espère faire rayonner tout un message d’espoir à la jeunesse ivoirienne.

28 – Eva AKASSIMADOU: Belle altruiste qui veut mener des actions pour sauver les enfants atteints de la dyslexie


La région du Sud-Comoé, fière de ses cinq couronnes nationales, mise cette année sur une nouvelle étoile : Mlle Eva AKASSIMADOU. Élue Miss Sud-Comoé 2025 le 1er mars à Aboisso, cette jeune femme de 25 ans entend poursuivre la tradition d’excellence.

Diplômée d’une Licence en Responsabilité du Développement Commercial, Eva voit en Miss Côte d’Ivoire une plateforme d’expression et de transformation sociale. « Ce concours est un levier puissant pour porter des messages utiles et contribuer à l’évolution de notre société », affirme-t-elle.

Son combat : la reconnaissance et l’accompagnement des enfants atteints de dyslexie, un trouble souvent incompris et négligé. « La dyslexie ne diminue en rien l’intelligence d’un enfant, mais sans soutien adapté, elle peut devenir un frein majeur à son épanouissement. Je souhaite mettre en place des actions concrètes pour améliorer leur prise en charge dans notre système éducatif », explique la candidate.

Photographe amateure et passionnée d’histoire, Eva aime capturer la beauté du quotidien à travers son objectif. Ce soir, elle espère faire rayonner sa vision et son engagement en arborant le brassard numéro 28.

29 – Amandine KOUAKOU: Une perle aux côtés des enfants souffrant de cancer et d’insuffisance rénale

Le Bélier, région aux huit couronnes nationales, dont l’emblématique Olivia Yacé, élue Miss Côte d’Ivoire 2021, pourrait bien compter une neuvième ce soir grâce à Mlle Amandine KOUAKOU. Élue Miss Bélier 2025 le 26 avril à Yamoussoukro, cette jeune femme de 24 ans incarne la rigueur.

Assistante Architecte, Amandine voit en Miss Côte d’Ivoire un vecteur d’engagement social. « C’est plus qu’un titre, c’est une responsabilité. Un moyen concret de contribuer au bien-être des plus vulnérables », déclare-t-elle.

Son projet social s’adresse aux enfants atteints de cancer et d’insuffisance rénale, deux pathologies lourdes aux conséquences dramatiques. « Chaque enfant mérite d’être soigné, d’être aimé et d’avoir une chance réelle de vivre pleinement », affirme-t-elle. Elle ambitionne de mettre en place des campagnes de sensibilisation, des collectes de fonds et un accompagnement psycho-social pour les familles concernées.

Venue d’une fratrie de 10 enfants, Amandine est aussi passionnée de lecture, d’écriture, de peinture, de chant et de danse. Son sourire rayonnant, ses valeurs humaines et son énergie positive font d’elle une prétendante sérieuse à la couronne. Elle portera le numéro 29 lors de la grande finale.

30 – Murielle KOFFI : En pompier pour les personnes qui souffrent de santé mentale

Représentante de la diaspora ivoirienne en France, Mlle Murielle KOFFI, 24 ans, a été élue Miss Île-de-France Côte d’Ivoire 2025 au Théâtre du Gymnase Marie Bell, à Paris. Depuis ce sacre, elle se prépare à défendre un sujet encore trop marginalisé : la santé mentale.

Titulaire d’un BTS en Banque et actuellement en poste dans le domaine du recouvrement amiable, Murielle est déterminée à faire de sa voix un outil de changement. « En Afrique, la santé mentale reste un sujet tabou. Trop de personnes souffrent en silence. Il est temps de libérer la parole, d’écouter, de comprendre, et surtout d’agir », insiste-t-elle.

Son projet, « Parlons-en », prévoit l’organisation d’espaces de dialogue dans les écoles, les entreprises, les quartiers populaires, avec l’appui de professionnels de santé mentale, d’éducateurs et d’artistes engagés. Objectif : sensibiliser, prévenir, et surtout accompagner.

Aînée d’une famille de deux enfants, Murielle est une passionnée de danse classique et de musique. Persévérante, sincère et très à l’écoute, elle compte sur le soutien de tous les Ivoiriens pour faire entendre sa voix. Son numéro pour la finale nationale du 28 juin : le 30.

Qui des trente (30) candidates succédera à Marie-Emmanuelle Diamala (Miss Côte d’Ivoire 2024) ce soir?

Mediazine.ci, avec Comici

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